4ème de couverture : Un vrai roman d’amour, d’une sensualité subtile et torride. Emportés par une attirance physique irrésistible, un homme et une femme dans la force de l’âge vont s’aimer avec toute la fougue de la jeunesse retrouvée.
Un rêve, une passion qui hante chacun de nous.
Une phrase : «Et comme un grand chasseur, arrivé au bout de sa vie, après avoir traversé des routes lointaines, voit soudain les lumières des feux de camp de son village natal, sa solitude l’abandonna. »
Quatrième livre de mon challenge : celui dont le titre contient le nom d’un lieu. Bon, j’ai un peu galéré pour ce livre. Je lançais des noms de lieux dans le moteur de recherche, mais aucun livre n’y était rattaché. Ou alors, je n’avais vraiment pas envie de les lire. Puis, je découvre celui-ci Sur la route de Madison. Et là, je me suis dit « Bonne pioche ! Un classique, mondialement connu, qui a même était adapté en un film avec Clint Eastwood (film que je n’ai pas vu), je le prends ! » Et je ne regrette pas mon choix. C’est effectivement un très beau livre, LE roman d’amour par excellence. Il n’y a rien de péjoratif ou de niais derrière cette appellation, simplement, le sujet de ce livre est vraiment, uniquement, et totalement l’amour. L’amour, ou cette force incroyable qui réunie deux personnes, qui les lie à jamais, malgré le temps et la distance. C’est la force de ce sentiment, son caractère entier, inaliénable, dépassant tout le reste, qui est mis à nu et exploré dans ce court roman. C’est une très jolie histoire sur le destin, ou le hasard, qui entraine deux êtres qui, a priori, n’ont rien en commun, à vivre l’expérience la plus signifiante de leur vie, tant bien même elle ne dura que quelques jours.
La force de cette histoire, l’exactitude de ces sentiments, le penchant dramatique, et un style très simple m’ont séduite. Pas besoin d’en rajouter, pas besoin d’effet de style, ni de pages et de pages de détails : comme l’histoire d’amour relatée, ce roman est court, simple, poétique et intense. Un grand classique donc, un best-seller même, et qui mérite qu’on prenne une heure ou deux à le lire.